Centre de référence constitutif des maladies endocriniennes rares de la croissance et du développement

Centre de référence constitutif des maladies endocriniennes rares de la croissance et du développement

Les maladies endocriniennes de la croissance et du développement sexuel regroupent des affections rares qui affectent la sécrétion ou l’action des principales hormones impliquées dans la croissance et/ou le développement sexuel : les hormones de croissance, thyroïdiennes, surrénaliennes ainsi que les gonadotrophines et les stéroïdes sexuels (testostérone et oestrogènes). Il s’agit d’affections qui, regroupées, concernent plusieurs maladies endocriniennes le plus souvent d’origine génétique, plus rarement acquise. Affectant l’enfant et l’adulte, car évoluant pour la plupart d’entre elles tout au long de la vie, elles justifient pleinement un centre dédié à ces maladies, capable de coordonner les soins tout au long de la vie, en particulier au moment difficile de la transition enfant-adolescent-adulte. Ces affections de la croissance et du développement sexuel sont nombreuses et complexes, justifiant une prise en charge coordonnée. Sophie CHRISTIN-MAITRE

RESPONSABLE

Sophie Christin-Maitre

Pr Sophie Christin-Maitre

service d’Endocrinologie, diabétologie et médecine de la reproduction

CONTACT

 
01 49 28 24 00

OU SE RENDRE ?

 
Hôpital Saint-Antoine
Service d’endocrinologie,
184, rue du faubourg Saint-Antoine
75012 PARIS

BOURCIGAUX Nathalie, endocrinologue, 01 49 28 24 10
CHRISTIN-MAITRE Sophie, endocrinologue, 01 49 28 24 00
DONADILLE Bruno, endocrinologue, 01 49 28 24 10
KARILA Daphne, endocrinologue-diabétologue, 01 49 28 24 06
LAMOTHE Sophie, endocrinologue-diabétologue, 01 49 28 24 06
OUZOUNIAN Sophie, endocrinologue-diabétologue, 01 49 28 24 06
VATIER Camille, endocrinologue, 01 49 28 24 06

GUEGUEN Isabelle, infirmière coordinatrice, 01 49 28 24 08
JORGENSEN Carina, psychologue, 01 49 28 24 07
OLMOS Fortunaise, assistante sociale, 01 49 28 53 45

  • Recherche clinique
    Etude de la corrélation génotype phénotype des patientes avec un syndrome de Turner (ST), selon leur caryotype, l’évolution à long terme des patientes ayant un ST en particulier sur le plan cardiovasculaire avec des études sur le diamètre et l’analyse du tissu aortique, des études sur leur fonction gonadique mais aussi de leurs anomalies hépatiques.
  • Génétique des insuffisances ovariennes prématurées
    Identification de nouveaux gènes en collaboration avec l’équipe Inserm UMR_S933 (Pr Serge Amselem) et le laboratoire de France génomique Sequoia

PNDS Syndrome de Turner

PNDS Insuffisance Ovarienne Prématurée (IOP)

Pour en savoir +